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    ... à quoi ressemble votre jardin idéal ?

     

    C'est la question que posait le magazine "Détente jardin" récemment sur sa page Facebook et parmi les réponses, il y avait un peu de tout.

    Certains ont cité de grands jardins comme Berchigranges, Great Dixter, Monet ou d'une manière générale, les jardins anglais, les jardins de curé...

    Une grande majorité recherche l'opulence et beaucoup de floraisons. Des valeurs écologiques y sont associées (biodiversité...).

    D'autres ont répondu que c'était leur jardin car il leur correspondait. Ca, c'est chouette de voir des gens satisfaits et qui ont trouvé leur bonheur.

     

    Pour ma part, j'ai, sans hésiter, mentionné Longmeadow, le jardin de Monty Don, présentateur de Gardener's World.

    Il représente tout ce que j'aime. Le style british mais d'une manière plus cottage que les grands jardins classiques anglais. Et aussi l'ouverture vers d'autres horizons (pourquoi pas une petite influence italienne ci et là ?).

    Le jardin (80 ares) est divisé en différentes parties :

     

    The Cottage Garden

     

    Au printemps, les myosotis sont partout et c'est magique.

     

    Dites-moi...        Dites-moi...

     

     

    The Jewel Garden

    qui fait référence à son business dans le monde des bijoux avant qu'il ne devienne présentateur à la BBC.

    On comprend mieux son don pour associer les couleurs.

     

    Dites-moi...

     

     

     

    The Paradise Garden

    en référence à la série d'émissions qui se déroulaient un peu partout dans le monde.

    On y retrouve l'influence de l'Afrique du Nord notamment.

     

    Dites-moi...

     

     

     

    The Vegetable Garden

    Vous le savez, le potager n'est pas mon fort

    (à ma décharge, toute ma jeunesse, j'ai vendu des légumes sur les marchés et 

    à la maison, on n'avait pas besoin de les cultiver).

    Mais le potager de Monty me plairait bien comme il est agencé.

     

    Dites-moi...

     

     

    Il y a encore plein d'autres coins pleins de charme comme :

     

    Dites-moi...        Dites-moi...

                                                                      Le coin verger                                                                          Le Lime Walk envahi de cerfeuil sauvage

     

     

    Dites-moi...        Dites-moi...

                                                                The Writing Garden                                                                                     The Summer House

     

     

    Chaque endroit a une âme et tout y est bien patiné et juste à sa place.

    Pas de déco superflue comme on le voit trop souvent ici en Europe continentale.

    La serre est à un autre endroit.

    Ici, c'est l'endroit où Montyy effectue ses semis, ses rempotages.

    Une vraie pièce de vie, de travail.

     

    Dites-moi...

     

     

     

    Je pourrais continuer ainsi enclore longtemps.

    Voici le coin qui me fait le plus chavirer : The dry Garden.

    Un espace clos, bien abrité et propice à la culture de plantes méditeranéennes 

    ou requérant simplement un excellent drainage et plus de chaleur.

     

    Dites-moi...

    La porte est magnifique et tellement bien à sa place à cet endroit.

     

    A vous maintenant, racontez-nous votre jardin idéal...

     


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    ... êtes-vous prêts à passer au numérique pour un livre de jardinage ?

    Avez-vous déjà pensé vous-même à vous faire éditer un jour ?

     

    De plus en plus de livres sont maintenant disponibles en version numérique, cad dire à télécharger (gratuitement s'il on est futé ou en payant mais beaucoup moins que pour la version papier) via un site de livres en ligne.

    Par exemple, le dernier que j'ai acheté de Claus Dalby est environ 13 euros moins cher dans cette version.

     

    Dites-moi...

     

     

    Personnellement, j'ai une liseuse (Kindle Paperwhite),que j'ai acheté l'année du confinement et que j'adore pour les romans. C'est l'un de mes meilleurs achats de ces 

    dernières années ! Je l'emmène partout. Je peux lire sur le transat sans craindre de graisser les pages avec l'ambre solaire, je peux lire la nuit sans réveiller Bruno et surtout,

    je peux télécharger tout ce que je veux quand je veux. 

     

    Dites-moi...     Dites-moi...     Dites-moi...

     

    Mais il ne me viendrait jamais à l'idée de l'utiliser pour autre chose que pour un roman. Dès qu'il y a des photos et qu'elles sont importantes, la version papier s'impose.

    Car je vais vous l'avouer, j'aime encore beaucoup cette sensation de toucher une partie du rêve qui est vendue, de sentir l'impression toute récente...

    Heureusement, la plupart des livres sont encore disponibles dans les deux versions pour la toute grande majorité.

     

    J'ai néanmoins connaissance de livres uniquement vendus dans une version numérique. C'est le cas pour ceux de Sylvie Fontaine.

    J'ai toujours trouvé ça bien dommage car beaucoup de ses bouquets mériteraient de se retrouver sur papier glacé.

     

    Maintenant, peu imaginent combien c'est difficile de se faire éditer par un vrai éditeur (je ne parle pas de l'auto-édition - publier à compte d'auteur- où tout le travail d'une

    équipe est zappé pour un résultat nettement moins soigné et surtout, nettement moins accessible au grand public).

    Le tout, c'est de parvenir à convaincre l'éditeur et son équipe (il décide rarement seul) du futur succès de l'ouvrage et de sa pertinence sur le marché du livre. La qualité de

    l'idée, des textes et des photos contribueront à obtenir une réponse positive. Il faut aussi rentrer dans la ligne éditoriale de la maison d'édition et là, en tant qu'écrivain, ce

    n'est pas toujours facile à cerner.

    Une bonne dose d'enthousiasme peut apporter un petit plus mais c'est anecdotique (il faut toujours croire très fort en soi-même).

    J'en profite pour vous donner des nouvelles de mon prochain à paraître en septembre.  Les échanges avec l'infographiste ont été très fructueux. J'ai été sollicitée et écoutée

    à de nombreuses reprises et j'ai eu de la chance de travailler avec une personne qui attache aussi beaucoup d'importance à l'esthétisme du livre et très souvent, on est sur la

    même longueur d'ondes.

    Malheureusement, pour des raisons de coût et aussi pour aérer et donner du rythme au livre, il a fallu supprimer plusieurs chapitres. Mais j'ai déjà mon idée : je les publierai

    en bonus pour les fidèles lecteurs du blog quelques mois après la parution du livre.

    Très bientôt, je me verrai proposer des idées de couverture et j'ai hâte de voir les photos qu'ils considèrent comme "vendeuses" (c'est quand même le but, qu'il soit diffusé le

    plus largement possible) et résumant bien l'esprit du livre.

    Bref, tout avance très bien et dans seulement 4 mois, il sera peut-être entre vos mains.

     

     

     

     


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    ... quelles plantes couvre-sol conseilleriez-vous en fonction de votre expérience dans votre jardin ?

    Pour quelle exposition ?

     

    C'est un sujet qui m'a été demandé par Isabelle, fidèle lectrice qui apprécie l'interactivité de cette rubrique. En effet, c'est dans les commentaires que vous trouverez le plus

    d'info pertinente.

    Personnellement, je commence toujours par parler de ma propre expérience. Or, en matière de couvre-sol, j'ai un crédo : planter serré !

    Car l'intérêt du couvre-sol est bien de limiter le travail de désherbage qui peut se révéler fastidieux si on aime un jardin soigné.

    Chez moi, le couvre-sol le plus utilisé est le géranium vivace. Pas un seul en particulier car atteinte de collectionnite aigüe, j'ai varié les plaisirs.

     

    Dites-moi...      Dites-moi...

     

    Certains comme l'oxonianum peuvent se révéler assez envahissant. Mais c'est ici le seul que j'arrache vraiment. Ah oui, il y a aussi le pyrenaicum mais pas vraiment un

    problème non plus, il s'enlève très facilement.

     

    Dites-moi...        Dites-moi...

     

     

    Dans mon jardin, j'ai aussi un peu de Gallium odoratum,

     

    Dites-moi...

     

    ainsi que le Persicaria elata qui forme un joli tapis et apprécie bien l'ombre.

    Atout supplémentaire : je l'utilise aussi dans mes compositions florales.

     

     Dites-moi...

     

     

    A la Roseraie, j'aurais quelques autres vivaces encore à vous conseiller en tant que couvre-sols.

    Tout d'abord, le Phuopsis stylosa. Un peu d'ombre lui convient aussi mais c'est en plein soleil qu'il s'exprimera le mieux.

     

    Dites-moi...    

     

    Sous les saules têtard, il fait très sec et j'ai eu une excellente idée le jour où j'ai introduit Claytonia sibirica. Il forme un magnifique tapis de petites fleurs roses au printemps.

    Se repose un peu en plein été pour refleurir encore ensuite. Il a tendance à se ressemer mais comme ça doit être la plante la plus facile à arracher au monde que c'en est

    presque un plaisir !

     

    Dites-moi...

     

    Dites-moi...

     

    Sinon, il y a aussi d'autres géraniums vivaces comme Geranium sanguineum striatum, très sage ou le grand classique, réputé pour la longueur de sa floraison, Rozanne.

     

    Dites-moi...

    Geranium sanguineum striatum au pied du Penstemon 'Sour Grapes'

     

    Dites-moi...     Dites-moi...

     Geranium 'Rozanne'

     

     

    Pour terminer, une idée farfelue mais certes très originale et gratuite : laisser les Geranium robertianum investir un coin d'ombre, même si le soleil de chez nous ne leur fait

    pas vraiment peur. Vous obtiendrez une scène très "nature" et qui va durer des mois. Après avoir fleuri, le géranium prendra des couleurs et ce n'est que si vraiment, il sèche

    que vous pourriez l'arracher. Mais n'ayez crainte, il aura pris le temps de se ressemer pour vous gratifier, très vite, d'une autre floraison. N'essayez pas de le trouver en

    jardinerie (au risque de vous retrouver emmené avec la camisole de force) mais récolter quelques graines quand vous le croisez s'il n'est encore jamais apparu dans votre

    jardin, ce qui serait étonnant.

     

    Dites-moi...       Dites-moi...

     

     


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    ... pensez-vous que les blogs ont encore un avenir ?

    Va-t-on se diriger vers un partage via des réseaux avec des publications plus éphémères ?

    Plus superficielles aussi ?

     

     

    En tant que profs, on a vu cette évolution ces 10 dernières années : manque de concentration, génération zapping, lecture incomplète...

    Pendant longtemps, j'ai cru que ce problème n'affecterait que la nouvelle génération mais ces dernières années, j'ai hélas pu constater que le problème concernait aussi les plus âgés et là, ça m'inquiète assez fort.

    Ca a commencé à me faire tilt il y a deux ou trois ans quand je constatais que pas mal de Seedlovers ne lisaient pas les consignes du SOL. Idem pour la vente de graines au profit de la Roseraie : je demandais (parfois même écrit en rouge dans les messages) de cocher "paiement à un proche" pour éviter les frais et hélas, peu l'ont fait.

    Puis, sur Facebook, quand on me demandait le nom de telle ou telle plante alors que j'indique toujours le nom précis en-dessous de l'image. Marie-Claude, blogueuse également m'avait fait part des mêmes soucis.

    Instagram a pas mal de succès au point même que certains ne vont plus sur Facebook. j'y ai donc aussi un compte où j'essaie de publier régulièrement pour rester en contact avec une partie de mes suiveurs. Remarquez que je n'ai pas dit "lecteurs" car presque aucun utilisateur d'Instagram ne va prendre la peine d'aller consulter votre blog. Instagram, c'est un partage de photos, de vidéos sans vraiment beaucoup d'échanges dans les commentaires.

     

    Dites-moi...

     

    Est-ce que c'est parce que les gens sont entourés de trop de possibilité d'informations qu'ils ressentent le besoin de se contenter de "feuilleter" des photos (Pinterest), de rester passifs, de ne lire que les titres. C'est ça qui me fait peur... On favorise la presse à sensation. Et on peut ainsi facilement manipuler les masses.

    Qui lit encore un article en entier avant de réagir pour avoir un avis plus avisé ?

    Pour ce qui est du jardinage, c'est la même chose. Je pense parfois à certains blogueurs qui prennent la peine de se documenter avant de débattre d'un sujet intéressant (je pense notamment au Jardinier Paresseux que j'adore lire) et qui ont moins de succès qu'un autre qui va publier une photo sur un réseau social...

     

    Dites-moi...

     

    Je pense qu'il est pertinent de continuer sur tous les fronts car en fin de compte, il s'agit de partage (que ce soit d'un petit instant de bonheur au jardin tout simplement ou bien de partage d'expériences plus pointues) et de s'adapter à cette malheureuse évolution. Il y aura toujours - et heureusement - des lecteurs en recherche d'informations précises et pertinentes. Et rien que pour eux, cela vaut la peine de se décarcasser.

    Pour l'instant, notre génération est encore à lire des livres et des magazines (même si les ventes de ces derniers ont chuté) mais qu'en sera-t-il de nos enfants ? Et pour eux, les blogs, n'en parlons pas, c'est déjà de l'histoire ancienne...

     

     


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    ... quels supports utilisez-vous pour vos plantes grimpantes ?

    Quel matériau ? A quel prix ? 

    Qu'est-ce qui se révèle le plus solide ?

     

    Cette question m'a été posée par Annie et plus récemment encore par Chantal qui voulait, elle, du fait maison à bon compte.

    Je vais vous détailler mes différents supports au jardin et à la Roseraie.

    Au jardin, d'abord. Les rosiers grimpants courent sur différentes structures mais que du solide. Bruno est toujours très prévoyant à ce sujet.

    Spirit of Freedom, St Swithun, Albertine et New Dawn poussent sur la structure en bois massif qui a été ajoutée, dès notre arrivée en 93, à la façade qui était toute plate et

    ordinaire.

     

    Dites-moi...

     Albertine

     

     

    Dites-moi...

     New Dawn

     

     

    Dites-moi...

     

     

    D'autres rosiers grimpent contre le mur de façade (côté jardin intérieur) et retombent langoureusement de l'autre côté (côté rue).

     

    Dites-moi...

     

    Dites-moi...

     May Queen

     

     

    Au-dessus, de l'allée qui nous sert de garage, une arche supporte 5 rosiers lianes. Elle a été fabriquée en métal et est adossée au mur du voisin. Ce sont en fait  de grandes barres de fer qui ont été fixées (boulonnées) en T. Suffisamment costaudes pour supporter le poids de rosiers lianes (surtout quand ils sont remplis de cynorrhodons) sans prendre de risques pour les voitures.

     

    Dites-moi...

     

    Dites-moi...

     

     

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    Souvent, on conseille de laisser courir un rosier liane sur un arbre. Encore faut-il préciser "un arbre de belle taille". Cette année-là, j'avais eu la bonne idée de laisser mon Paul's Hymalayan Musk prolonger  ses longues branches sur mon Pyrus salicifolia. L'effet était spectaculaire et d'un romantisme... ! Mais une année, pas deux ! Le vigoureux rosier commençait à prendre le dessus sur le Pyrus qui avait moins de feuillage !

     

    Dites-moi...

     

     

    Si vous n'avez pas peur de vous lancer dans une construction de plus grande envergure, une pergola est un excellent moyen de faire pousser des grimpantes.

     

    Dites-moi...       Dites-moi...

     

     

    Dites-moi...

     Vigne et glycine grimpent sur la pergola

     

     

    Parfois, il m'est arrivée de démarrer avec un "bête" treillis acheté en jardinerie pour guider le rosier à ses débuts, puis avec l'âge, il est superflu, le rosier (ici Belle de Sardaigne) se reposant sur la toiture.

     

    Dites-moi...       Dites-moi...

     

     

    Quelques années plus tard, il m'a fait une longue branche qu'on a décidé de guider en guirlande au-dessus de la fenêtre de ma cuisine et là, il a fallu l'aider un peu avec quelques pitons forés dans le mur.

     

    Dites-moi...

     

     

    Et cette année, il me promet encore un chouette décor pour ma façade.

     

    Dites-moi...

     

     

    Le long de la piscine poussent aussi quelques petits grimpants sur des arches en métal que j'avais gagnées lors d'un concours il y a très longtemps. A l'époque, je ne me serais pas permise une telle dépense mais le concours m'a aidée. Et avec du recul, l'investissement même élevé vaut la peine. Elles sont toujours là, intactes et aussi solides que jamais.

     

    Dites-moi...

     

     

    Dites-moi...

     Perennial Blue

     

    Il faut quand même choisir une certaine qualité. Quand j'ai planté les rosiers grimpants dans le coin Foucart en 2017 à la Roseraie, le jardinier communal était allé me chercher deux arches dans un magasin hard-discount (Traffic) et elles n'ont pas duré très longtemps car l'hiver dernier, il a fallu les remplacer. Et les changer signifie devoir se dépatouiller avec de longues branches épineuses à détacher puis réinstaller sur le nouveau support sans casse. Donc, un conseil, essayez de faire le bon choix dès le départ.

     

    Dites-moi...       Dites-moi...

     

    Dites-moi...     Dites-moi...

     

    Il arrive souvent qu'après une tempête, je reçoive un ou deux mails d'amies me demandant conseil pour des rosiers grimpants, à terre, avec la structure en bois toute cassée. Je conseille alors le métal.

     

    Dites-moi...

     

    Celles de la Roseraie sont le modèle York, venant de chez Matelma.

    A la Roseraie, des grimpants de taille modeste poussent aussi sur le grillage de l'entrée. Il faut avouer que c'est bien plus beau qu'avant, de voir de la verdure et des fleurs plutôt qu'un treillis en plastique ! Mais il faut tailler régulièrement pour que de longues branches nn'aillent pas embêter les piétons qui longent le trottoir.

     

    Dites-moi...   Dites-moi...

     

     

    Enfin, le nec plus ultra : un tunnel de roses... Ce n'était pas prévu au départ de cette manière mais quand j'ai hérité d'une partie de la structure d'une amie, qui était encore en excellent état après ponçage, il ne restait plus qu'à les installer sur des piquets en bois. Pour tout ça, j'ai eu heureusement l'aide des ouvriers communaux qui ont fait un excellent travail. Il ne reste plus qu'à attendre que les rosiers recouvrent l'ensemble et ce sera fabuleux.

     

    Dites-moi...       Dites-moi...

     

     

    Pour des tout petits grimpants, un support moins classique peut-être envisagé comme avec ma boîte aux lettres pour Raubritter.

     

    Dites-moi...

     

    Là, on a parlé "rosiers" mais il y a aussi toutes sortes de plantes plus ou moins vigoureuses qui peuvent donner de la verticalité à votre jardin.

    Pour une glycine, il faut prévoir du solide et ne pas la laisser s'entortiller autour de poutres trop fines. Avez-vous déjà vu les branches d'un sujet très âgé ?

    Pour une vigne à raisins, pareil car en automne, avec le poids des fruits, ça change tout.

     

    Dites-moi...

     

    Certaines plantes grimpantes s'agrippent toutes seules avec un système genre "ventouses" comme les vignes vierges.

     

    Dites-moi...      Dites-moi...

     Parthenocissus tricuspidata 'Veitchii'

     

     

    Pour les clématites, on peut les faire grimper sur des rosiers grimpants déjà bien établis (ne pas planter les deux la même année, laisser le temps au rosier de s'installer sans être étouffé) et même, pour des clématites à développement raisonnable, sur des rosiers arbustes.

     

    Dites-moi...         Dites-moi...

                                                       Clematis 'Warsaw Nike' dans Rosa 'St Swithun'                      Clematis 'Litlle Nell' dans Rosa 'The Pilgrim'

     

    Il reste aussi la solution du treillis. Ici, j'en ai deux : un pour mon jasmin officinale et un autre pour le jasmin rose.

     

    Dites-moi...

     

    Les pois de senteur peuvent pousser sur des grillages à l'ancienne (mais j'ai toujours trouvé ça moche) ou sur de jolis supports comme on peut trouver dans les bonnes jardineries.

     

    Dites-moi...       Dites-moi...

     

    Leurs pendants vivaces, eux, ont un développement bien plus grand et si on ne ne donne rien pour grimper, ils vont courir un peu partout (parfait pour les talus).

     

    Dites-moi...

     

    Voici donc un petit éventail de ce que j'utilise personnellement mais il existe encore bien d'autres possibilités et je compte sur vous pour donner des idées à mes deux amies citées au début.

     

     

     


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